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LETTRES DE GRÂCES

 

01. Le 1 Juin 1986
Frère Gabriel (FIC) – Notre-Dame de Lourdes – Lourdes (France)

Merci au Père Giacomo.
Je suis cérémoniaire à la Grotte des Apparitions depuis d’août 1966. Un de mes confrères de Lourdes (Frère de l’Instrution Chrétienne) m’indique le tombeau du Père Giacomo, toujours couvert de fleurs et d’ex-votos. Depuis 1968-70, je suis allé souvent prier sur ce tombeau, spécialment quand j’avais quelque probléme de santé, qui me faisait craindre de devoir abandonner mon service à la Grotte. Grâce à l’intercession du bon Père, je n’ai jamais interrompu mon service de cérémoniaire. Merci au Père Giacomo.


Une sainte personne de Lourdes, Madeleine Marty, que s’appliquait à entretenir cette tombe, me donnait des images et des imprimés portant la prière pour la glorification du Père Giacomo; j’en ai distribuié à des amis, français et italiens, et j’en ai même conduit quelques-uns au cimetière de la rue Langelle, entre autres une des cousines de Saint-Nazaire, madame Annich Michot, venue en pelerinage à Lourdes il y a deux deux ans. Elle s’attendait à être opéré d’um tumeur quelques mois après. Elle se confia au Père Giacomo et, quand elle se rendit à la clinique, le doucteur constata que le mal avait disparu et que l’operation prévue n’était pas nécessaire. Six mois après, elle subit un nouveau contrôle médical et elle fut trouvée en excellent santé, sans aucune trace de la tumeur. Elle et sa famille ont beaucoup de confiance dans la puissant intercesssion du Père Giacomo et elle en a parlé à ses amis de Siant-Nazaire.


Mademoiselle Madeleine Marty est décédée subitement le 11 mai 1985. Elle fut inhumée au chevet du Père Giacomo, qu’elle a si bien servi et contribué à faire connaitre (*).
Fr. Gabriel

(*) UNE FIDELE SERVANTE DU PÈRE GIACOMO S’EN EST ALLÉE VERS LA «MAISON DU PERE».
Ses obsèques ont eu lieu à Lourdes le 13 mai 1985.
Mademoiselle Madeleine Marty est décedé subitement le 11 mai, âgée de 77 ans. Après avoir passé la matinée à la Grotte de Lourdes – ce qu’elle faisait souvent -, rentrait chez elle, au «Petite-Nice», quand elle fut terrassée par une crise cardiaque. Une voisine téléphona aussitôt au docteur, qui la fit conduire d’urgence à l’hôpital où le Seigneur la rappela à Lui quelques minutes plus tard.
Cette sainte femme s’appliquait à entretenir la tombe du Père Giacomo de Balduina, laquelle était toujours fleurie en hiver comme en été. J’ajoute, d’autre part, qu’on ne compte plus les ex-votos déposés sur son tombeau par les bénéficiaires des largesses du futur Bienheureux
Madeleine Marty était aussi une bienfaitrice des Sanctuaires de Bétharram, à 15 kilomètres de Lourdes, et avait une grande dévotion à Saint Michel Garicoïts. Elle allait souvent sur son tombeau.
La Messe des funérailles fut concélébré par trois Pères de Bétharram: le père Oyenhart, le père Saint-Guily, le père Subervie. L’épître et l’évangile étaient ceux de la fête de saint Michel G. - fixée au 15 mai pour le diocèse de Bayonne -: textes que la défunte aimait à méditer.


Dans une homélie remarquable, le père Oyenhart, qui présidait la concélebration, evoqua rapidement la vie de la servent de Dieu. Orpheline à 13 ans, elle se trouva seule au monde, dans Paris, et devait gagner son pain en travaillant. Elle trouva une situatiion dans le Postes, eploi qui ne enchantait pas au début, mais elle s’habitua rapidement à son nouveau métier, grâce à son caractère enjoué.
Titulaire d’une retraite confortable, elle s’appliquait à vivre pauvrement, distribuant son superflu en bonnes oeuvres. Les derniers chèques qu’elle a signés étaient destinés aux Missions, à l’Aide à l’Eglise en Détresse (A.E.D.), à la Pologne. Chaque mois elle faisait célébrer dix Messes pour les âmes abandonnées du Purgatoire.


La cérémonie se termina par le chant de l’ Ave Maria de Lourdes.
Nul ne soupçonnait l’action bienfaisante de Madeleine Marty, tant sa vie était cachée, s’écoulant dans la plus grande discrétion. Elle était peu connue. C’est pourquoi une cinquantaine de personnes seulement assistaient à ses obsèques. Elle fut inhumée non dans un caveau, mas dans une simple fosse creusée à même le sol, comme les pauvres, juste au chevet du tombeau du Père Giacomo qu’elle a si bien honoré et fait connaître en distribuant brochures et images, ainsi que des imprimés rappellant la vie du Père et portant la prière pour sa béatification.
Inconnue des homes, elle était précieuse aux jeux de Dieu, «qui s’est penché sur son humilde servant» (Magnificat).
Fr. Gabriel

02. Le 18 avril 1999
Frère Gabriel (FIC) – Maison Saint-Martin – B.P. 17 – 56120 Josselin (France)

J’ai quitté Lourdes voilà près de dix ans, pour entrer dans une de nos maisons de retraite (j’ai 82 ans...), à Josselin, centre de pèlerinages au coeur de la Bretagne. Depuis mon arrivée ici, je continue à recevoir des lettres, me signalant des faveurs obtenues par l’intercession du Père Giacomo et me demandant des images ou des biographies du bon Père.
[...]
Je continuerai à le prier, à repondre aux lettres que je recevrai à son sujet et à travailler à le faire connaître et aimer.
[...]
En union de priére, je vous pri, de croire, cher père, à mes sentiments respectueux.
Fr. Gabriel

03. Le 31 mai 2004
Marie Duron – 7, rue Blanche – 13008 Marseille (France)

Mons père,
[...].
Les lourdais, les francçais veulent respecter ce que lui [le Père Giacomo] avait dit lors de ce voyage le 20/07/1948: «Je vais à Lourdes, voir la Vierge, mais je n’en reviendrai pas».
[...].
Respectons le choix qu’il a fait. Il a voulu aller là-bas, c’est à nous d’aller prier là où il a choisi d’être. Peut-être serez vous surpris de mon raisonnement.
[...]
Dans un couvent de religieux ou de religieuses ne pourrait-il pas trouver le vrai répos et toutes les prières, les témoignages que nombreux nous pouvrions lui apporter e qu’il mèrite.
[...]
Madame Marie Duron

04. Le 10 mars 2006
Christine Corvo et Eric Escande – “En Barreau” – 81500 Saint–Lieux–les-Lavaur (France)

Cher révérend père Rodolfo Saltarin,
nous nous sommes rencontrés en octobre 2003, Eric et moi, Christine. Eric avait 36 ans et vivait seul dans sa grande maison à la campagne. Moi, j’avais 29 ans et je vivais seule dans un petit appartement en ville.


Nos vous écrivons aujord’hui pour reconter notre histoire, témoigner du rôl q’a joué le Père Giacomo dans notre histoire e le remercier.


Eric et moi, chacun de notre côté, nous vivions seuls et malheureux depuis très longtemp. Nous ne croyons plus vraiment en la vie.


Eric a longtemps prié le Père Giacomo pour qu’il lui vienne en aide. Il est allé à Lourdes, se mettre à genoux sur sa tombe et demander de rencontrer une jeune femme.


De mon côté, je priais notre Sainte Vierge Marie, le Bon Dieu e même Sainte Rita. Je continue d’alleurs toujours de prier notre Sainte Vierge Marie quand je soufre, car il reste malgré tout toujours des points d’ombre dans nos vies, à Eric et moi.


Puis un jour, une relation commune, madame Lucile Doumeng aidée de ma soeur Irène, connaissant non situations chacune nous ont mis en relation Eric et moi.


Eric et moi, nous nous sommes d’abord parlés au téléphone.
Nous aimions déjà ces moments d’échange qui pouvaient durer un certain temps. Puis il y eut notre recontre, chez moi, il y a deux ans e demi aujourd’hui.


Depuis un an, nous vivon emsemble dans cette grande maison à la campagne. Nous nous aimons profondément. Nous avons des projets de foyer e de famille. Et même si la vie n’est pas simple, nous remercions le Père Giacomo, notre Sanite Vierge Marie, le Bon Dieu et Sainte Rita pour leur grâce.
Merci.
Dans cette attent, vueullez agréer, cher révérend père Rodolfo Saltarin, l’expression de nos sentiments les meilleurs.
Eric et Christine

05. Le 22 mars 2006
Maurice Mulet-Farudja – 61 bis Les Terrasses Corniche Fleurie – B.Lilles 2 - 06200 Nice (Fr)

Mon père,
Avec mon courrier, je vous adresse mes sentiments respectieux et religieux.
Chaque année je vais à Lourdes et, depuis que j’ai connu le Père Giacomo, avec mon épouse nous allons tous les ans prier près de sa tombe. Nous constatons qu’il y à toujours beaucoup de monde et sa sépulture est toujours bien fleurié. En ce qui me concerne, j’ai une grande confiance au Père Giacomo. Je le prie tuos les jours. Il m’aide dans la vie a suporter beaucoup de difficultés
[...]
En union de prière.
Maurice Mulet

Bongiorno Padre,

Je vous ecris pour vous dire que mardi 30 juin, je suis allee a l'Hopital Purpan a Toulouse - Service Stomatologie du Professeur Boutault. Apres des radios faites, il m'a ete dit que j'avais un abces et qu'il fallait m'enlever une dent et couper une racine. Qu'un dentiste devrait faire ce travail et qu'il etait urgent que je le fasse faire, car il y avait inflammation et infection.

Le soir j'ai prie Padre Giacomo a ce sujet.

Le lendemain matin, j'ai ete recu par le Dr. Eric Boulanger - Chrirurgien Dentiste a Toulouse qui a constate que l'abces etait resorbe et qu'il n'y avait ni inflammation, ni infection.

Avec mes salutations,

Marie-Helene Martin

Bongiorno Padre,

Je vous ecris pour vous dire que mardi 30 juin, je suis allee a l'Hopital Purpan a Toulouse - Service Stomatologie du Professeur Boutault. Apres des radios faites, il m'a ete dit que j'avais un abces et qu'il fallait m'enlever une dent et couper une racine. Qu'un dentiste devrait faire ce travail et qu'il etait urgent que je le fasse faire, car il y avait inflammation et infection.

Le soir j'ai prie Padre Giacomo a ce sujet.

Le lendemain matin, j'ai ete recu par le Dr. Eric Boulanger - Chrirurgien Dentiste a Toulouse qui a constate que l'abces etait resorbe et qu'il n'y avait ni inflammation, ni infection.

Avec mes salutations,
Marie-Helene Martin

 

 

 


 
 
 
   
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